Sky's School
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Une école qui regroupe une multitude de races, soit 17 au total ! Venez chercher l'Amitié ou l'Amour (Nc -17 H/Y/Y), soyez gentils ou méchants, généreux ou cynique. Tout le monde trouve la place pour son personnage dans cet internat isolé !
 
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 Méfiez-vous des apparences...

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AuteurMessage
Ward Mezmer
~ Observateur Malsain ~
~ Observateur Malsain ~
Ward Mezmer


Messages : 30
Localisation : Dans un corps d'emprunt

Fiche du Pensionnaire
Classe: Professeur Hypnose
Race: Métamorphe
Orientation Sexuelle: Aucune

Méfiez-vous des apparences... Empty
MessageSujet: Méfiez-vous des apparences...   Méfiez-vous des apparences... EmptyMer 23 Juin - 1:28

Fiche de Description


Carte d'identité.


Prénom : Ward
Nom : Mezmer
Âge : Quelques siècles...
Métier: Professeur d'Hypnose
Orientation Sexuelle : Une femme.
Race : Métamorphe... mais pas d'origine humaine.
Pouvoirs : Maître de l'Hypnose, il est capable de charmer d'un seul regard et d'endormir d'un seul geste, pourvu que la cible soit attentive et que son esprit ne soit pas trop fermé. En passant quelques séances avec une cible, il peut parfaitement la conditionner pour obéir à l'un de ses ordre à un moment précis, tant que cela n'est pas à l'opposé de toutes les croyances de la cible. Le pouvoir de l'Hypnose n'est limité que par l'esprit, mais c'est une frontière inconstante qui peut tout autant le couper de tout pouvoir que de lui donner un contrôle total. Sous sa forme réelle, Ward est capable de pétrifier ses cibles pour un cours laps de temps.

Qui je suis vraiment.



Description Physique :

Les apparences sont parfois trompeuses

Nous dirons que c'est un petit peu compliqué, à la base Ward n'est, pour ainsi dire, pas des plus humains, étant métamorphe, sa première transformation fut de devenir un homme. C'est la forme qu'il utilise la plupart du temps et c'est donc cette apparence que je vais vous décrire en premier.

Anormal, c'est sans doute la première chose que l'on pense en voyant ce jeune homme, du moins quand on est humain. On ressent un trouble inexplicable, comme s'il manquait quelque chose à cet être que pourtant rien ne trahit. Il possède une silhouette svelte, qui le fait paraître plus grand que son mètre soixante-quinze, pas une once de graisse ne recouvre sa musculature fine et son squelette de verre, tout en lui semble fragile, comme si un coup de vent pouvait le briser... malgré sa taille, il fait jeune et on le soupçonne rarement de dépasser la vingtaine.
Même son visage semble plus adolescent qu'adulte : des trais délicats, sans doute un peu trop, une bouche discrète ornée d'une paire de lèvres si pâles qu'elles en sont invisibles. Un nez qui, sans être enfantin, est loin de l'adulte, sépare une paire de yeux tout droit sortit d'un visage poupin, dotés de larges iris posées sur un blanc immaculé. Mais ce sont peut-être ces prunelles qui donnent un air étrange au jeune homme, elles semblent luire d'une lumière qui leur est propre telle deux bille d'argent pure qui emprisonnent les malheureux qui osent croiser son regard... C'est un fait, ces yeux sont des chaînes qui enserrent l'esprit et leur étreinte ne peut être brisée qu'avec un effort de volonté de la part de la proie, un effort que tous ne sont pas prêts à fournir tant se plonger dans ces lacs d'argent est... agréable. Le jeune « homme » est souvent maquillé, de longs traits noirs qui parcourent son visage pour se rejoindre sur ses yeux, accentuant encore l'attention qu'on leur porte.
Mais cette paire tentatrice est souvent, et c'est une chance, dissimulée dans l'ombre d'une frange de couleur corbeau qui tombe en pointes éparses devant son regard. Les sombres cheveux de Ward encadrent l'ovale de son visage en courtes mèches d'obsidienne, dissimulant la courbe de ses oreilles et la pâleur de sa nuque sans pour autant descendre jusqu'à ses épaules. Ses cheveux ne semblent jamais pousser, il les garde inchangés de semaines en semaines, de mois en mois. Cela ne fait pas vraiment tiquer, on suppose qu'il se les coupe au moindre changement et qu'on ne remarque pas les subtiles changements que cela entraîne...
En général, le jeune professeur vêtu de noir et blanc, ou bien uniquement de l'un des deux, loin de sembler abominer la couleur. Il semble simplement lui préférer ces tons neutres qui se marient sans problème avec la majorité des lieux où il va. Pour le reste, ses vêtements semblent variés, moulants ou très larges, de laine ou de cuir, il porte de tout sans discrimination tant que cela rentre dans ses tonalités.
Au final, c'est un jeune homme assez beau qui fait plus jeune qu'il ne prétend l'être et qui provoque, chez les autres, une légère impression d'étrangeté sans que personne ne sache vraiment d'où cela vient.

Du moins, c'est ce qu'il semble être, car, en réalité, Ward est un monstre... Enfin, de notre point de vue, car le fait qu'il nous voit comme tel n'est pas à écarter. Il est de la race des Oculus, créature ancienne et maléfique dont la méthode de reproduction incroyablement lente explique le nombre restreint de ses membres. La véritable forme de ce professeur d'Hypnose est autrement plus anormale que son apparence d'emprunt. C'est une créature de deux mètres de haut, flottant en général à une cinquantaine de centimètres du sol... Mais pouvant léviter à la hauteur désirée. Il ne semble constitué que d'une énorme tête sur laquelle se trouve greffée une multitude de tentacules, chacune terminée par un globe oculaire. Le « visage » de la créature est lui-même en grande partie occupé par un large œil bleu tranché verticalement d'une fine ligne blanche en guise de pupille. Sous cet effrayant regard s'ouvre une gueule, à faire pâlir un requin d'envie, dotée d'une large rangés de dents de toute tailles, elle semble capable d'avaler un être humain d'une bouchée.
Le cuir de la créature est de couleur violette, parsemé de plaques osseuses légèrement plus claires et de cornes dépassant des endroits les plus inattendus, elle forme une véritable carapace à la créature.
Cette forme montreuse est tout sauf discrète et Ward ne l'utilisera qu'en cas d'extrême urgence, ou bien pour se faire passer pour un autre. L'aura dégagée par son véritable aspect étant totalement différente personne ne peut faire, sans le voir se transformer, le rapprochement entre le monstrueux Oculus et le jeune professeur d'Hypnose.

Description Mentale :

C'est un malade, il n'y a rien d'autre à dire, doué d'une folie des grandeurs sans commune mesure avec l'âme humaine, ici, toute sa nature d'Oculus ressort malgré ses antécédents humains. Dans les tréfonds ombrageux de son esprit malsain, pas de place pour les sentiments anodins d'une sous-espèce sans avenir. Car c'est ainsi qu'il les voit, des créatures trop frêles, dotés d'une peau molle d'un rose répugnant, leurs os sont trop fins et bien trop écartés les uns des autres. Cette race, dont la soit-disant supériorité réside dans le crâne, aux yeux de l'Oculus - et il en a assez pour bien vérifier - semble vide ! Leur stupidité est la hauteur de leur faiblesse, trop nombreux pour leurs maigres ressources, chacun ne pense que d'un point de vue personnel et encore, a très court terme... Rares sont les humains qui pensent à l'échelle de la décennie alors qu'il est improbable, pour Ward, de prévoir à moins long terme qu'un siècle ! Une foule n'est jamais plus intelligente que le plus idiot de ses membres et les Humains sont incroyablement nombreux, l'Humanité n'est qu'une créature obèse à laquelle sa masse interdit tout mouvement... Pour le professeur d'Hypnose, l'espèce toute entière n'est qu'une aberration qui mériterait, au mieux, de se faire réduire en esclavage... Quoique le génocide pur et dur soit cent fois préférable.
C'est du moins ce dont il essaye de se convaincre, hanté par l'image de la jeune femme qui, il y a bien longtemps avait hanté ses nuits... Ces souvenirs le tourmentent car, en tant que membre de sa race, il considère cela comme une aberration que d'aimer une Humaine, mais son éducation et ses sentiments lui empêchent d'arracher cette dernière attachée à son passé d'Humain, à ce propos, ses sentiments sont ambiguë, il déteste tant cette femme, car... il l'aime.
A cause de cela, il cherche à se plonger au plus profond de sa nature d'Oculus, usant du besoin primaire de sa race : la domination. Oui, pour oublier l'amour il s'enfouit dans la soif de pouvoir, à court terme, sa cible est la Sky's School... Mais ses projets vont plus loin : il désire reprendre ce qui appartient de droit aux siens : le Monde. Oui, Ward s'en rend bien compte, dominer le Monde n'est pas un projet des plus inventifs, mais qu'importe, s'il obtient ce qu'il désire, l'image de la jeune femme sera noyée dans le sang de sa race, la plongeant à jamais dans l'oubli... Tout du moins, il l'espère.

Derrière ce cœur blessé suppurant de haine, se trouve un jeune Oculus perdu car, après tout, cette incroyable fierté et ce besoin malsain de tout dominer ne sont que des murs qu'il dresse pour se protéger. Trompé par ceux qu'il croyait être sa famille, incapable de tuer cette femme qui avait accaparé son cœur malgré son besoin brûlant de vengeance, obligé de dissimuler son ascendance pour ne pas passer pour un monstre de cauchemar... Son âme est en miette, son cœur est en ruine, son esprit frise la folie : dernier membre connu de son peuple, il erre dans un monde qui n'est plus vraiment le sien, au fond de lui, il le sait, son peuple est éteint et les Oculus ne sont plus qu'une légende parmi d'autres et, malgré son incroyable longévité, il n'est pas éternel et sa race ne règnera jamais sur ce Monde. Ward se sent comme le dernier soubresaut d'un monstre à l'agonie, mais bon, s'il faut être un monstre, autant l'être jusqu'au bout, n'est-ce pas ?
Il s'est donc fabriqué un autre Ward, un Oculus pur et dur, détestable, sans scrupule ni pitié et pas plus de sentiments, il l'a constitué tel que les livres décrivent les siens, un assassin des peuples, empli de mépris, d'arrogance et de cruauté... Il s'est forgé ce masque mental, avec application pour qu'il dissimule tout de sa vraie personnalité. Mais, peu importe comme l'on se débrouille... Il faut des trous dans un masque, pour voir le monde à travers celui-ci.
Et les yeux ne sont-ils pas le miroir de l'âme ?


Histoire :

Les premiers souvenirs, il fait froid...
Il fait sombre, mais je vois parfaitement, alors comment je sais qu'il fait sombre ? Question difficile, je ferme les yeux...

Ward fut découvert par une troupe de chasseurs, ces derniers voulaient s'abriter dans une grotte pour la nuit quand ils ont découvert ce petit garçon, qui semblait à peine âgé de quatre printemps, allongé dans la grotte, grelottant, sur le point de mourir de froid. L'un des chasseurs décida de ramener chez lui ce petit colis fragile tout de peau laiteuse et de cheveux noirs. Mais sa famille n'était pas riche et, comme il était coutume à l'époque, il alla quêter l'aide du seigneur de son village. Ce dernier était un homme bon et il prit l'enfant comme page, intrigué par cet étrange petit bout d'homme aux grands yeux luisant d'une intelligence déjà fort développée.

Très vite, le petit garçon devint la coqueluche du fortin, doué d'une maturité incongrue et d'une logique imparable, il comprenait tout sans explication et faisait le bonheur des professeurs, il ne parlait pas souvent, ne courait que rarement... quoique n'étant jamais retard, et était d'un calme à toute épreuve. Il devint un peu le fils adoptif du seigneur, sans jamais prendre la place des deux véritables, déjà presque adultes, qui, loin de le jalouser, le gâtaient affreusement. Le jeune Ward, appelé ainsi à cause de son regard envoûtant, grandit choyé, dans un petit cocon familiale, sans histoire et sans peine.
Jamais, durant cette période, il ne se sentit ailleurs qu'à sa place.

Il grandit, devint un adolescent et, comme tous ceux-là, il se mit en devoir d'apprendre à se battre, il n'y montra strictement aucune aptitude, mais personne n'osait le frapper avec force, son visage si poupin et son regard d'argent liquide faisant fondre même les plus endurcis des chevaliers. Mais il n'était pas dupe et il décida très vite d'abandonner ses espoirs combatifs pour se replonger dans ses domaines de prédilection : les livres, les plumes et les parchemins. Il y montrait un don impressionnant, capable de se rappeler jusqu'au moindre mot de chaque livre qu'il lisait il apprit par cœur la bibliothèque du fort en à peine deux années, laissant l'érudit du village bouche-bée. Le seigneur décida, pour assouvir la soif de savoir du jeune homme, de l'envoyer à la cours du roi.

Son arrivée fut un événement qui passa totalement inaperçu, un rat de bibliothèque de plus ou de moins dans le château n'intéressait personne... Ce ne fut qu'après quelques semaines que le jeune homme fut enfin remarqué, par les courtisanes. Son allure enfantine, sa peau laiteuse et ses yeux hypnotisants eurent tôt fait de lui tailler la part du lion dans les rêves de ces dames... Et même de certains hommes. Humble page de campagne, il déclina simplement les invitations à diner ou bien les petits tête-à-tête que lui proposaient ses soupirantes. Ces dernières, très amusées par la pudeur du jeune homme, se firent insistantes et, bientôt, il se retrouva, sans trop comprendre, entraîné dans une suite sans fin de fêtes, de banquets de salon et de promenades. Exhibé comme un trophée, il passait de mains en mains sans trop savoir où l'on voulait en venir.
Puis il tomba entre ses mains.

Elle était... belle. Si belle. Il resta sans voix un si long moment que les autres dames se mirent à ricaner. Les lèvres de sa déesse esquissèrent un sourire coquin et, pour le sortir de sa torpeur, elles déposèrent un baiser frais sur sa bouche entrouverte. Effet immédiat, la porcelaine de sa peau devint pivoine, doublant le volume des rires environnants et allumant les yeux de sa fée d'une flamme de malice.
Il passa les semaines qui suivirent avec elle, il ne la quittait plus d'une semelle, véritable caniche accroché à son service. Elle lui paya des vêtements décents et s'en servit comme cavalier dans les bals, comme serviteur dans les banquets et comme confident dans sa vie. Elle s'appelait Ambre, c'était une noble, fille d'un Duc lointain, elle avait dix-sept ans et c'était l'un des partis les plus convoités du pays, faisant ainsi de Ward l'un des hommes les plus jalousé du pays, mais l'inverse n'était pas impossible. Il devint son ami intime, il savait tout de sa vie, ses soupirants préférés, ceux qu'elle détestait, sa préférence pour les mûres au détriment des framboises et tous les détails insignifiants qui, ensemble, forme un être... l'être aimé.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin dit-on, et celle-ci fut brutale. Ce fut simple, Ward se baladait, des voyous voulurent le détrousser, tout alla très vite, il eut peur, il fut en colère, il les détestait, il... se transforma. Le jeune Oculus n'a qu'un souvenir très flou de la suite : des flammes, du sang, des corps, partout, des gens qui l'attaquent, il les écrase sans problème, puis d'autres viennent, ils subissent le même sort, et d'autres encore, les gardes, des chevaliers, des paysans, des soldats, il les tua tous, des blessures s'ouvrant dans son cuir épais, une de ses tentacules tombe au sol, il continue.
Puis une scène le frappa comme un coup de masse dans le ventre, Ambre est là, face à lui, les bras écartés, sa bouche n'est qu'un plis résigné, ses yeux sont deux puits de haine dégoulinant de larmes de rage, derrière elle, son père... blessé par sa dernière attaque... Ward lève une tentacule et... Il ne peut pas, pas elle, pourquoi le défend-elle ? Ce sont eux qui l'attaquent, non ? Qu'a-t-il fait hein ? Quel genre d'erreur peut pousser la femme qu'il aime à lui jeter un regard si haineux ?

Question difficile, je ferme les yeux.

Il est parti, laissant une trentaine de morts et dix fois plus de blessés, quelques maisons incendiées, un Duc à l'agonie et Ambre emplie de haine et de rancœur.
Durant des siècles, le jeune Oculus vécu en ermite, comprenant le mensonge qu'avait été sa vie, étudiant l'histoire de son peuple, diabolisé par les humains; méprisés et traqués comme des bêtes, les siens avaient disparu du globe voilà des dizaines d'années... C'était pourtant ce qu'il était, un atroce monstre caché dans un corps d'humain; oui, après s'être transformé, il s'était rendu compte que son apparence humaine ne lui allait pas, comme un costume un peu trop petit, il ne permettait pas la liberté de mouvement de son vrai corps. Il apprit tout de même à vivre avec et, surtout, à user de ses pouvoirs héréditaires.
La haine naquit lentement... Tout comme le désespoir. Et il erra de par le monde à la recherche d'un sanctuaire. Il finit par le trouver en la Sky's School. Il y étudia, sans vraiment se faire remarquer, côtoyant des races mythologiques dont certaines était censées avoir disparues elles aussi... Il cherchait, parmi ceux-là, les siens, mais même eux, êtres de légendes, ne voyaient les Oculus que comme des monstres sans âme.
La haine grandit...
Quand il fut en âge de partir, il refusa et prit un poste de professeur dans ce qu'il savait le mieux faire, l'Hypnose, la magie de son peuple qu'il maîtrisait quasiment de naissance jamais vraiment l'avoir su...
Et, désormais, la haine va agir...

Qui je suis hors-RP.



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